Vertaling van folly
Voorbeelden in zinsverband
I cannot help laughing at your folly.
Je ne peux m'empêcher de rire devant ta bêtise.
It's folly to eat so much.
C'est idiot de manger autant.
There's always something good in human folly.
Il y a toujours du bon dans la folie humaine.
Men only think that you are wise when you share or approve of their folly.
Les hommes ne vous trouvent sage que lorsqu'on partage ou approuve leur folie.
There are more fools than wise men, and even in wise man there is more folly than wisdom.
Il y a plus de fous que de sages, et dans le sage même, il y a plus de folie que de sagesse.
But what is liberty without wisdom, and without virtue? It is the greatest of all possible evils; for it is folly, vice, and madness, without tuition or restraint.
Mais qu'est la liberté sans la sagesse et sans la vertu ? C'est le plus grand mal possible ; car c'est la bêtise, le vice et la folie sans tutelle ni retenue.
There is no such thing, at this stage of the world’s history in The United States of America, as an independent press. You know it and I know it. There is not one of you who dare write your honest opinions, and if you did, you know beforehand that it would never appear in print. I am paid weekly for keeping my honest opinions out of the paper I am connected with. Others of you are paid similar salaries for similar things, and any of you who would be foolish as to write honest opinions would be out on the streets looking for another job. If I allowed my honest opinions to appear in one issue of my papers, before twenty-four hours my occupation would be gone. The business of the journalist is to destroy the truth, to lie outright, to pervert, to vilify, to fawn at the feet of Mammon, and to sell his country and his race for his daily bread. You know it and I know it, and what folly is this toasting an independent press? We are the jumping jacks, they pull the strings and we dance. Our talents, our possibilities and our lives are all the property of other men. We are intellectual prostitutes.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.